Journées européennes de l'archéologie
Événement gratuit

Le musée s’associe à l’Année du bronze, événement organisé par le musée d’archéologie nationale de Saint-Germain-en-Laye, pour vous proposer deux jours d’animations à tous autour de cette période marquée par de nombreuses découvertes archéologiques sur le territoire nogentais !
Samedi 14 juin de 10h à 18h
Démonstration : À l’origine de la fonte du bronze
Grâce à l’archéologie expérimentale, les médiateurs du musée s’essayent à la reproduction en bronze de petits objets issus du dépôt de bronzier de Périgny-la-Rose (Aube) selon les techniques utilisées à l’âge du Bronze, il y a près de trois mille ans.
En continu
Tout public, dès 7 ans
Dans le parc de l’ancien musée Dubois-Boucher
Dimanche 15 juin à 15h
Les rendez-vous de l’archéo
Chaque année, à l’occasion des Journées européennes de l’archéologie, le musée propose une conférence dédiée aux fouilles effectuées sur les sites du Nogentais.
Pour cette édition, Jacques Piette, archéologue et ancien conservateur du musée de Nogent-sur-Seine, viendra présenter les découvertes les plus marquantes réalisées dans le Nogentais depuis le XIXe siècle pour la période de l’âge du Bronze.
Durée : 1h
Dès 16 ans
Auditorium du musée
Et aussi
Exposition Le Musée caché
Découvrez quelques-uns des vestiges archéologiques conservés dans les réserves grâce à cette exposition-photo conçue avec la participation des commerçants du centre-ville !
Informations pratiques
Lieu : Horaires & Tarifs :
Entrée libre et gratuite
Nuit des musées
Événement gratuit

Venez faire la fête avec Laisse tomber les filles ! En cette année qui met à l’honneur les sculptrices, le musée Camille Claudel s'est en effet tourné vers ce collectif féminin lillois, créé en 2021, qui défend notamment l'égalité dans le milieu de la musique électronique.
Toute la soirée, la visite libre du musée ainsi que l'ensemble des activités proposées sont gratuites pour tous.
Informations pratiques
Lieu : Horaires & Tarifs :Barbich’veux
Atelier jeune public

Dans le musée, le groupe de participants rencontre des personnages très barbus ou chevelus… Dans l’atelier, différentes manières de dessiner la tête d’un personnage à la barbe broussailleuse ou à la chevelure en désordre sont explorées.
Une trop petite place !
Atelier jeune public

Inspiré des reliefs du musée, chaque participant modèle un bonhomme sur une plaque... Mais celle-ci devra être très étroite, et le personnage devra prendre toute la place !
Jeune fille de Bou-Saâda
Jeune fille de Bou-Saâda
Le sculpteur a élaboré Jeune Fille de Bou Saâda pour la tombe du peintre orientaliste Gustave Guillaumet, au cimetière de Montmartre à Paris. Il y a repris la composition d’une de ses œuvres de jeunesse, La Fileuse, souvenir de Mégare, tout en citant un tableau du peintre, Tisseuses à Bou Saâda. La position et le geste des bras sont issus de la fileuse, de même que le tabouret bas, identique à celui de la jeune Grecque. La coiffure et le costume sont plus proche des tisseuses du tableau et, avec le tapis qui recouvre le tabouret, ils donnent une couleur orientaliste à cette figure algérienne.
Alors que la sculpture d’origine est en bronze uniquement, cette réduction associe le marbre pour les carnations et le bronze pour les vêtements, les cheveux et le mobilier. Différentes patines plus ou moins dorées permettent de distinguer le tabouret du tapis, le voile de la tunique ou encore le vêtement des agrafes, celles-ci étant en outre agrémentées d’incrustations de turquoises et de nacre. Cet usage de la polychromie évoque les statues chryséléphantines de la Grèce antique tout en apportant un caractère précieux qu’on associait volontiers à l’Orient.
Cinq des quinze danseuses du surtout de table Le Jeu de l’écharpe
Cinq des quinze danseuses du surtout de table Le Jeu de l’écharpe
Le surtout de table du Jeu de l’écharpe a été commandé à Agathon Léonard par la manufacture de Sèvres en prévision de l’Exposition universelle de 1900. Sous l’impulsion de son directeur artistique Alexandre Sandier, la manufacture cherchait à renouveler une production alors dominée par les styles historiques et concurrencée par des maisons plus ouvertes à la modernité. Très nettement tourné vers l’Art nouveau, Le Jeu de l’écharpe a été l’un des plus grands succès de cette politique, médaille d’or à l’Exposition universelle et commercialisé avec succès jusqu’à nos jours.
Les drapés amples, fluides et plissés évoquent des scènes de bas-reliefs gréco-romains et, surtout, leur réinterprétation par la danseuse d’origine américaine Isadora Duncan, contemporaine des sculptures. Agathon Léonard met à profit les plis des jupes et les manches évasées pour accompagner les gestes délicats et gracieux des danseuses, créant des effets de courbes et de contre-courbes très étudiés.
Hirondelle blessée
Hirondelle blessée
Œuvre non exposée
Hirondelle blessée représente une jeune femme ailée, assise sur un rocher, qui tient sa cheville gauche. Le buste cambré ainsi que le regard tourné sur le côté exercent une torsion du corps qui flatte l’anatomie de la jeune femme. Alfred Boucher a réalisé un certain nombre de variations autour de cette figure, que l’on retrouve sous différents titres, en différents formats et matériaux. Il a produit avec Hirondelle blessée une allégorie sentimentale justifiant la représentation d’un nu féminin idéalisé. Souvent associée au printemps et à l’idée de renouvellement, sa femme hirondelle se présente vulnérable au regard des hommes. Une version en marbre de l’œuvre a été exposée au Salon de 1898 où elle a connu un immense succès. Le fondeur Susse en a édité deux versions en bronze : l’une montre l’allégorie assise sur un rocher, la seconde la montre assise sur un socle parallélépipédique.
Cette sculpture s’inscrit dans une série de nus délicats, sensuels mais sages, dont Boucher s’était fait une spécialité. Au XIXe siècle, l’enseignement à l’Ecole des beaux-arts offrait une place importante à la représentation du nu idéalisé. La pose tend à rappeler les photographies de modèles destinées aux artistes et donne au nu une dimension sensuelle. Le corps parfait de la jeune femme reflète le bon goût qui caractérise la sculpture décorative que la bourgeoisie aimait avoir dans son intérieur.
Un serpent envahissant
Atelier tout-petits - dessin et modelage

Pendant les vacances scolaires, le musée Camille Claudel propose aux enfants de découvrir les œuvres du musée en s'amusant.
Les artistes en herbe observent le serpent de la sculpture L’Âge de pierre qui s’enroule autour des jambes de l’Homme préhistorique. Dans l’atelier, ils dessinent un serpent qui se tortille pour occuper tout l’espace d’une feuille. Puis, avec de l’argile, ils créent un environnement pour un serpent qui apparaît dans la roche, disparaît sous terre…
Présence obligatoire d'un adulte accompagnateur pour les ateliers tout-petits. L'adulte participe gratuitement.
Informations pratiques
Lieu : Horaires & Tarifs :10h30
Durée : 1h
De 3 à 7 ans
Tarif : 5€ par participant
15€ pour 4 ateliers
Réservation conseillée !
03 25 24 76 34
Une souris brune…
Atelier tout-petits

Les très curieuses souris du musée ont une vie bien à elles... Mais que peuvent-elles faire d’autre quand elles ne regardent pas dans les coquilles d’escargot ? Chaque enfant modèle sa réponse.
Georges Gardet, Souris à l'escargot, 1897, dépôt de la Manufacture de Sèvres © Yves Bourel
Dessin d’argile, empreinte de plâtre
Atelier tout-petits

Pendant les vacances scolaires, le musée propose aux enfants de découvrir les œuvres du musée en s'amusant.
Après avoir dessiné sur une plaque d’argile, chaque enfant, accompagné d’un adulte, prépare du plâtre qu’ils coulent ensuite sur le dessin. Pendant que le plâtre durcit, le groupe observe un relief en plâtre dans les salles du musée. À leur retour à l’atelier, que s’est-il passé ?
Présence obligatoire d'un adulte accompagnateur pour les ateliers tout-petits. L'adulte participe gratuitement.